24 février 2014, visite au parc Semenggoh centre de réhabilitation de la faune

C'est un endroit fabuleux pour voir les grands singes roux, les orangs outans de Bornéo. Nous avons eu beaucoup de chance d'en voir 4.  Ils vivent dans le sommet d'arbres majestueux. On regarde vers le ciel et on aperçoit une tâche rousse dans le creux des arbres bien à l'ombre dans le feuillage.

Ils nous on fait le plaisir d'une visite sur la terre ferme.  Lorsqu'on les voient dans les arbres marcher sur les branches on croirait voir un homme voûté,  ils ont les pattes courtes en comparaison de leurs bras très long.  Avec le poids qu'ils ont ils demeurent très gracieux dans leur mouvement. On a vu une maman son bébé et un grand mâle protecteur qui suivaient le moindre gestes des intrus sur leur terrain. Ce dernier n'a pas quitter des yeux la maman et le bébé qui sont passés tout près de nous.

 plante carnivore

 On cherche les orangs outans

 le male

la maman et son bébé

24 févvrier 2014, Kuching Sarawak Bornéo

Pourquoi un chat, Kuching veut dire chat et il est l'emblème de cette ville, il y a ici des statut de chats partout en ville et il y a un musée du chat, ceux qu'on voient dans la rue sont bien maigres et un peu mal léché

Le vol entre Johor Bahru et Kuching ne dure que 1h30 et du ciel ce que l'on voit c'est un paysage de forêt dense et sillonné par de grande rivière boueuse, qui forment des grands S, de la mer de Chine jusque dans les sombres forets. D'en haut tout est vert, très vert on s'inquiète de ce signe de la nature, c'est la mousson qui se termine ici, souhaitons que nous puissions profiter pleinement de notre séjour.

Ce n'est pas une ville comme Singapour tout en démesure, mais bien une ville à l'échelle humaine.  Installé sur le long d'une belle rivière, les anciens quartiers se sont installés, bien sûr d'abord le quartier chinois où on trouve encore beaucoup de constructions historiques. C'est le coeur de la vieille ville.  Ensuite une vieille mosqué puis la nouvelle puis le musée islamiques quelques maisons de style coloniales.  Derrière on a construit une nouvelle ville aérée et bien aménagée avec des espaces de verdures et des forêts d'arbres matures.  Il y a ici plusieurs monuments imposants et très raffinés qui furent construisent au début du siècle par le 2e Rajah Blanc Charles Brooks administrateur de Kuching et d'une partie du Sarawak.  La ville est très propre.  Nos visites seront ralenties par les ondées, mais rien de dérangeant.

 assemblée nationale

 à Kutching il y a une grande communauté chinoise, les malais sont pour la plus grande partie musulmans et il y a les natifs qui font partie de 3 ethnies principalement.  La photo qui suit est un bel exemple de ces groupes.

moi j'apprécie ,le signe avec les doigts en V c'est une blague pour Kyny, car ici  tous les asiatiques qui se font prendre en photo font comme ça et Kyny ça l'énerve

19 février 2014 Singapour 2

les quaies

Quai cet ancien quartier d'entrepôt délabré a subi un renouveau, tout a été retappé et transformé afin de rendre cette partie de la ville de Singapour attirante et agréable aux touristes.  C'est maintenant un quartier avec des restaurants et des bistros à la mode. Des gîtes tout ce qu'il y a de plus chic et des grands hôtels.  La ville a laissé libre court aux artistes pour enjoliver les places.  On trouve des immenses champignons de stainless et de toile qui ombrage les rues pietonnes, les murs des maisons aux couleurs pastels donnent a ce quartier la vitalité.   D'ici partent des bateaux pour découvrir la ville. 

c'est un endroit super pour reposer les vieilles pattes

ou faire un roupillon

le 19 février 2014 Singapour

Notre arrêt à Johor Bahru est de 4 jours. Nous voulions voir le beau et fabuleux Musée Royal Abu Bakar de Johor, mais c'est fermé pour rénovations depuis quelques années. Nous sommes quand même allé voir ses majestueux bâtiments posés et perchés sur un immense terrain de 1,5 km. Sans doute pour rivaliser avec le musée de Louvre?  D'ailleurs, grâce à Abu Bakar, pour obtenir le titre de Sultan par Londres, il a cédé le bout de l'île de l'extrême sud de Malaisie à l'Angleterre, devenant l'actuel fameux Singapour. Le quartier de Little India est très vivant avec ses commerces, restos et marché de nuit très actif.  Avec ses grands centres d'achats, les gares de trains et routières et le gigantesque complexe douanier, immigration et quarantaine, entièrement s'intégrés les uns aux autres et à l'allure vraiment futuristes, nous sommes bien servis! Il suffit de traverser ces dédales de complexes et enjamber le pont "Causeway", le fleuve, nous sommes en territoire de Singapour. C'est ce que nous recherchons. Ici, nous avons un joli hôtel qui nous permettra de visiter Singapour et de revenir pour dormir.
Le passage de la frontière est très facile, avec un bus, une fois notre passeport tamponner par les douanes malaisienne et singapourienne nous atteignons le métro de Singapour qui nous amène directement en ville, ça prend quand même 2 heures.

le choc de la beauté, d'un côté un magnifique jardin aménagé avec des sculptures géantes de champignons imaginaires. La nature et les objets fantastiques se confondent dans cet espace tout au bord de la mer, surprenant que l'eau soit si bleu près d'une aussi grande ville avec un port important.  À l'opposé de ce parc un hôtel, un oeuvre d'art architectural. On dirait trois immenses colonnes qui supportent un bateau. c'est fantastique. d'une grande beauté. 
sur la promenade ces parapluies parasols, avec ventilateurs qui fonctionnent avec des panneaux solaires sous lesquels il est vraiment agréable de se reposer. les bancs pas compliqué une seule planches de bois sur pattes de fer forgé c'est délicat et ca s'intègre tellement bien a ces aménagements.

cette promenade ombragée permet au personnel des grandes tours de respirer un peu d'air frais pendant le lunch.  Ici à Singapour tout va vite, même les escaliers roulant du métro sont à vitesse grand V, tient toi bien on monte et on descent. les gens marchent vite aucunes minutes à perdre c'est la business ici.  Quand on regarde le centre des affaires, c'est une rangée de gratte ciel, les architectes on du s'en donner à coeur joie pour créer tours.  On est heureux aujourd'hui on remplie notre tête de beautés.  Kyny croit que tout les étudiants d'architecture devraient s'acheter un billet d'avion pour Singapour.

14 février 2014 Malacca

Ce matin, nous devons changer l'hôtel, car ici, les week end sont tous réservés, même si on reste dans un hôtel plusieurs jours, on doit quitter pour faire place aux réservations.  On a trouvé tout aussi bien à deux pas. La journée commence par une procession de la communauté hindous, la musique et tout le monde est endimanché et pour la plus part marche pieds nus dans un soleil de plomb.  Ils marcheront ainsi pour près de 10 à 12 kilomètres pour rejoindre le grand Temple. Quelle dévotion!

Des fanfares et tambours accompagnent des hommes en groupe, au torse nu. Ils tiennent des espèces de plumes de paon dans un sac en couronne, devançant une charettel de boeufs surmonté de leur Dieu et Gourous. On s'arrête de temps en temps pour casser les noix de coco en les lançanttrès fort sur le macadam. Demain, la fête continue et ils vont introduire de longues aiguilles dans leur corp et des crochets dans la peau du dos pour se suspendre en air. Nous allons éviter de voir ça, c'est trop cruel. Pour eux, c'est de l' offrande pour remercier ou demander aux dieux de l'aide. C'est aussi l'occasion pour la population de donner les dons et les offrandes à leurs dieux. Ce qui est vraiment curieux, c'est de voir la communauté chinoise participe à cette fête. Pour eux, tous les dieux sont vrais et bons ou efficaces, pour demander protections et  faveurs. Les gens plus aisés offrent des plateaux de fruits, de fleurs etc, aux prêtres en chariot.

Après un dîner façon nyonya (repas ethnique chinois-malais) et un fabuleux Cendol durian (dessert de flocons de glace), nous rentrons à l'hôtel pour se cacher du soleil de l'après midi et se reposer. Vers 4 heures p. m., des sons de tam-tam cadencés à la danse de dragons chinois nous réveillent de notre sieste. Aller hop, nous nous précipitons dans la rue. Une autre parade! Décidément, ils se donnent le mot aujourd'hui. Cette fois, très bruyantes, énergiques et colorées, c'est la parade des communautés chinoises qui clôturent la fin des festivités du Nouvel An chinois le 15ème jours. Cymbales, tambours, danses de dragons et autres Le dragon, de la musique , des pétards, c'est la fête, on est
vraiment heureux de notre séjour ici.

Demain on part pour Johor Bahru on vous racontera.

le 10 février 2014 Malacca

A quelques 3 heures vers le sud de Kuala Lumpur, cette ville aux influences portugaises, hollandaises, quelques édifices aux influences britanniques, mais avant tout, le quartier chinois, et la culture nonya. Cette culture à ses origines en Chine dans la région du Fujian, même région que les ancêtres de Kyny. Cette culture nonya existe ici en Malaisie, en Indonésie et en Thaïlande. Dans la région de Malacca, ces chinois prospères se sont souvent mariés à des femmes d'origine indienne, dans la région de Penang plus au nord les liens étaient davantages entre chinois et malais et parfois européen. Alors la nourriture nonya d'ici et du nord est très différente mais tout aussi délicieuse.

Ces grands commerçants ont fait fortune dans les échanges commerciaux dans tous les pays d'Asie.
Ici peu de gratte ciel, c'est une ville au bord du golfe de Malacca.  Dans l'histoire, il y a eu bien des bateaux pillés par les pirates et ça continu "Le détroit de Malacca est aussi un endroit dangereux pour les navires. Il se situe entre la péninsule malaise et l'île indonésienne de Sumatra. En 2009, on a dénombré 45 attaques. Le seul indicateur encourageant est la baisse significative des actes de piraterie par rapport à 2005, où les marins avaient subi 102 attaques."

Comme Malacca n'est qu'à 4 heures de Singapour, des convois d'autobus de touristes y arrivent le week end, étant donné les prix beaucoup moins chers, les gens profitent des restaurants de fruits de mer. des balades de rickshaw qui sont du kitch à son meilleur.

promenade au bord de la rivière

on trouvait beaux ces amoureux dans le quartier indien de Malacca

Kuala Lumpur 9 février 2014,

Il y a dix ans (2004), nous étions à Kuala Lumpur (KL). Dans un petit hôtel, Kyny avait attrapé une infection à la gorge à cause du système d'air climatisé,  ça nous a s'en doute sauver la vie. Car nous avons décidé de rester un jour de plus loin de Kuraburi en Thailande. ce matin là il y a eu le tremblement de terre suivi du grand tsunami, qui a emporté tant de vies, et créé la grande dévastation sur les côtes notamment indonésiennes, thaïlandaise, les îles Andamans et la côte de l'Inde.

Nous vagabondons maintenant dans ses rues depuis 4 jours et tout ici est facile dans la capitale de Malaisie. 

Kuala Lumpur s'est refait une beauté, il y a des très beaux parcs, l'aménagement de la ville permet des espaces pour la détente, des bancs ici et là, de jolies lampadaires au design asiatique. Il paraît que c'est la ville la plus verdurée du monde. Les îlots de grandes arbres sont partout parmi les habitations, les grattes ciel et les routes. Presque réussie comme urbanisme de ville, s'ils n'avait négligé les circulations piétonnières. c'est l'enfer sur terre! Tout est pour l'automobile. Le quartier chinois est effervescent , les commerces ou les marchandises débordent jusque dans la rue. Les resto de jour et de soir fonctionnent sans arrêt. Les salons de thé réflétent un atmosphère de relaxation. Le quartier indien, ici les odeurs sont maîtres de la rue: cardamone, encens, curry, poulets tandoori en étalage, pains nan grillés à l'intérieur des fours arrondis et, à travers tout ça, les mosquées aux arcades dentelées moresques, les femmes malaises habillées de vêtements aux colories pastels aux foulards tout en harmonie, compose ce peuple amalgamé. On a l'impression d'être dans plusieurs pays en même temps. Et c'est très agréable