mardi 28 janvier 2014

27 janvier 2014 Puerto Princessa 2

Le plus beau est à venir, les photos qui suivent sont prises à la plage de Las Cabanas.  ce que l’on souhaite Kyny et moi c’est qu’il reste encore de ces grandes beautés à voir quand Alice sera grande, c’est bientôt déjà. 






ici il n'y a pas que s'amuser dans l'eau il y a aussi les rizières à faire, la vrai vie



lundi 27 janvier 2014

27 janvier 2014 Puerto Princessa

le 23 janvier 2014
Nos promenades à pied nous font contourner les montagnes, c'est impressionnant cette pierre, les arbres finissent par y installer leurs racines ainsi que les lierres, aux aurores on peut voir ces feuillages qui tremblent ça nous fait penser à des fantômes de la nuit qui fuient au petit matin dans les grottes profondes de la montagne.  Les iguanes y trouvent aussi leur petit coin tranquille.  Un monsieur francais à décidé de s'installer à El Nido pour y ouvrir un café qu'il dit "style new-yorkais" pour y offrir des bagels, faut le faire. Cet endroit est bien décoré et charmant, certain qu'il va y faire de bonnes affaires en plus qu'il est très gentil.  Les touristes ne restent pas longtemps ici, ca va ca vient, les excursions sont très chères et la plage inexistante dans la ville.





Aujourd’hui le soleil nous plombe enfin depuis quelques jours la grisailles était au dessus de nous sans arrêt.Promenade dans la baie voisine, ca nous réconcilie avec El Nido, il y a des coins paisibles encore a découvrir. Ici c’est là où vivent les locaux, sous les grands arbres, à l’ombre les enfants jouent dans la petite route de terre, les plus vieux jouent au foot. les couples les yeux dans les yeux avec une bouteille de whisky,  la vie est douce.  Ils vivent au raz le sol, ca ne prendrait pas une grosse vague pour faire glisser tout ca la mer.  Ils ont toujours vécus comme ca alors pourquoi changer. les exemples de villes comme Cebu n’auront rien donner. Les gens évitent de parler du désastre du typhon Yolanda.  Pourquoi? De peur de nous effrayer ou autre chose ils nous reste à le découvrir.
Le lendemain excursion vers la plage Las Cabanas, Wow! Wow! Wow! la plage de sable couleur ocre, la mer bleu turquoise , jusqu’au bleu encre,les formations rocheuses de la baie de Bacuit , un petit paradis.  L’eau est bonne et clair, c’est ça qu’on était venu voir ici.  voilà on trouve toujours son bonheur il s’agit d’y croire.  En plus nous avons rencontré une petite fille très mignonne qui s’appelle Angélica, toute menue et intrépide comme pas une, elle doit avoir 5 ans. Elle me dit «sorry Mam I have to see my sister Ariel » tout le monde connait Ariel la petite sirène , je lui demande où elle allait la rencontrer, (nous étions dans la mer) elle me répond bien voyons sous l’eau.  Alors on met notre tête sous l’eau et après elle me dit tu l’as vu, elle a une robe couleur orange.  Il me semble que je l’ai vue passer mais très vite.
Finalement on aura bien aimé El Nido. Pour dire que l’on s’habitue a bien des choses on passe par dessus les mauvaises et on retient les meilleurs. Le 27 on rentre à Puerto Princessa. En attendant on se la coule douce La Vida.
voici Angélica "la petite soeur d'Ariel la petite sirène"








mercredi 22 janvier 2014

23 janvier 2014 El Nido Philippine

Lendemain matin, vol vers Manille et ensuite Manille-Puerto Princessa. Nous arriverons juste avant la tombée de la nuit. En vol, on aperçoit de hautes montagnes, des îles entourées de corail de couleur turquoise et une île avec au centre un immense lac. Tout se passe vraiment bien, pas de discussion pour le prix du tricycle, la ville est belle et propre à la lumière du soleil couchant.  On dit que cette ville est la plus propre des Philippines. Ça semble vrai. Arrivée à l’hôtel Greenspace, impeccable, ce soir on va bien dormir.  

Depuis 3 jours, on découvre cette charmante ville, ce qu’il y a de plus beau ici, comme partout où nous sommes arrêtés, ce sont les gens, souriants et accueillants, sans jamais montés le ton. On m’appelle Mam, et quelques fois Mom. On partira mardi matin pour El Nido, une ville enclavée dans les montagnes karstiques. Il parait que là-bas, c’est l’endroit le coin le plus beau de l’île. n y rêve déjà.

le 21 janvier 2014, c’est la fête de la cadette de la famille, bonne fête petite soeur Chantal. 
 
Aujourd’hui nous avons quitté Puerto Princessa pour El Nido, logé dans la baie de Bancuit.
La route, sinueuse à travers les montagnes, qui nous conduit ici, est superbe. Bananiers, cocotiers, manguiers, flamboyants, bambous, merveilleux arbres Samsa et rizières verdoyantes, tout y est, pour nous offrir  un paysage de rêve. On nous a dit que El Nido est le point d’intérêt numéro un de l’île de Palawan.


À l’arrivée, c’est vraiment un choc pour nous de voir l’état de la plage et les odeurs qui s’y dégagent, que je ne décrirai pas ici. C’est une ville, enclavée par les hautes montagnes karstiques et bordée par une immense baie de plage et, à l’horizon, flottent les îles…Tout est là pour rendre ce lieu paradisiaque! Mais le même phénomène arrive comme dans l’île de Boracay citée plus haut! Nous sommes vraiment déçus et désespérés. Des centaines bangkas (bateau aux 2 flotteurs à chaque côté) sont encrées dans cette baie et un petit port s’y ajoute où l’on charge et décharge les vivres nécessaires à faire fonctionner cette île. Le bateau repartira avec un chargement de poissons pour Manille. Pour apprécier cette partie de l’île, il faudra se joindre à un groupe et faire un tour organisé de bangkas dans les îles avoisinantes pour les plongées sous-marines, de l’acnés, la baignade etc… C’est de l’or en barre pour les promoteurs sans aucun soucis de l’environnement. Un natif qui travaille à l’hôtel nous affirme encore une fois que, depuis l’arrivée de l’électricité, tout est changé et bouleversé.


23 janvier 2014 Kalibo Philippine


Dimanche le 19 janvier 2014,
C’est la fête de mon amie d’enfance et meilleure amie Huguette, moi j’aimais toujours dire ce jour là , bon pour quelques mois on a deux ans de différence.  Moi je riais et elle pas.  Bonne fête Huguette.

Nous sommes à Puerto Princessa, capitale de l’île de Palawan.  
Nous avons quitté l’île de Boracay le 16 janvier pour revenir à Kalibo (île de Panay) où il y avait  une grande fête de Ati Atihan. festival dédié à l’Enfant Jésus. On était heureux de quitter Boracay, cette si belle île, pour nous, la mal aimée, détruite par l’arrivée de l’électricité et des hordes de touristes chinois, japonais, coréens et européens de l’est. Cette pression humaine l’a complètement polluée. Si on n’arrête pas les promoteurs immobiliers et les nombreux vols charters, ça en sera fini de ce paradis très bientôt. On n’arrive plus à gérer les déchets et les eaux usées. On déverse directement dans la mer. Quel triste spectacle. Bon! les choix sont bien sûr économiques, mais la pensée à court terme est souvent néfaste. Nous pensons que se sera irréversible car le pays a trop besoin du fric. 

Kalibo était en fête, beaucoup moins de tricycles dans les rues. Le centre ville est consacré aux parades. Des milliers de personnes arpentent les rues. C’est festif, tout le monde est heureux et souriant. Vers 10h du matin, c’est les parades de gens costumés,venant des groupes ethniques différents. Beaucoup de villes et de villages de l’île de Palawan y sont représentés. Chaque groupe prépare son spectacle en vue d’un prix. Les danses, de couleurs vives et mouvantes, vont de styles hispaniques (le samba) aux styles de danses de guerres des tribus des forêts et de la mer. On a mis beaucoup de détails aux costumes mais le rhyme des mouvements nous fait sourire, car la synchronisation n’y est pas toujours c’est le coeur qui compte.

C’était une belle journée que nous nous souviendrons longtemps dans nos souvenirs de voyages..  







dimanche 12 janvier 2014

le 12 janvier 2014, Boracay Festival Ati-Atihan

Depuis hier il y a des groupes de musiciens qui marchent le long de la plage qui fait 4 kilomètres. Tambours et xylophones se font engendrent partout en ville c'est la fête de Ati-Atihan, on célèbre l'enfant Jésus.  Ce festival est un ensemble de danses tribales accompagnées par la musique, les costumes et des éléments de guerre. Cette fête est respectée par les chrétiens et les non-chrétiens. Aujourd'hui la fête à culminée par une grande parade qui a durée plusieurs heures, c'était magnifique et très festif.  Regardez les photos vous allez tout comprendre.







samedi 11 janvier 2014

le 12 janvier 2014, Kalibo

Le 9 janvier dernier, grand départ pour les Philippines, c'est une première. Nous ne connaissons peu de choses de ce pays. Sauf ce que des amis nous en ont  rapporté. Notre ami, Robert Fournier, photographe, avant son décès prématuré, aimait bien venir prendre des photos des volcans et des roches dans ce pays. J'ai en tête encore certaines images d'un de ces voyage après une éruption de volcan. Il y a aussi un homme passionné de la mer et des plongées que l'on avait rencontré dans l'île de Ko Surin, il y a bien une quinzaine d'années, il nous avait vanté les charmes des plages et des fonds marins. Et, aussi un très bon rapport de séjour de nos grands amis Ghislaine et André qui sont passés par là pour de la plongée.

Avec çà nos attentes sont grandes.

Après le vol Bangkok-Manille, Manille-Kalibo, nous passions une petite nuit dans cette dernière ville. La surprise! il fait déjà nuit et on part en tricycle, c'est une moto avec une petite boîte à savon accrochée sur sa droite, une banquette pour deux en avant et l'espace bagage à l'arrière.  On part, tout va bien, il y a une odeur de pétrole dans l'air. Nous observons qu'ils commencent à rénover et à reconstruire des maisons décimées par le typhon qui, dans ce coin ci, n'est pas trop catastrophique.
Devant les stations services, il y a des hommes armées de fusils, on ne voit pas de restos. Les commerces "dépanneur" sont des constructions en bois dont la façade entièrement fermés est composée d'une sorte de fenêtre grillagée en métal où l'on passe par un petit trou pour acheter  marchandises.  Moi, ça me rappelle Port Moresby en Papouasie Nouvelle Guinée. Bon, on arrive à l'hôtel, ça a l'air bien.  On aura une meilleure idée demain de la ville avec le levée du soleil.

On a bien dormi, mais au matin, la fameuse odeur de pétrole est encore plus présente, on comprendravite que, dans la rue, il y a des centaines de tricycles, au moteur essence-huile, qui pètent le gaz couleur bleu. Il doit y avoir ici énormément de gens qui souffrent de problèmes respiratoires. Après quelques heures de marche, cette odeur nous donne mal au coeur.  Allez! Vite à l'île de Boracay.

le 12 janvier 2014 - Boracay



le 10 janvier 2014 ,Kalibo-Boracay trajet en mini-van il y a douze places a comblées, bon on attendra près de 2 heures le départ. Je crois qu'ici il faut se calmer et être patient, moi j'ai du mal avec çà, J'ai trente jours pour apprendre.  La route est belle et les paysages tout en douceur, on commence ici déjà les rizières, en pleine saison ça doit être tellement beau. Il y a des très grandes montagnes au loin.
Dans une heures et demie nous arrivons à l'embarcadère de Caticlan.  La traversée en bateau se fait en quelques minutes.  Je vois mon île paradisiaque devant moi.  Des tricycles nous attendent, sur la route  je désenchante doucement, les baraques commerciales, les maisons délabrées, des tonnes de fils électriques qui tombent dans la rue, la circulation Wow! C'est autre chose.

Boracay, l'île de notre destination! Débarqué par un tricycle, nous longeons la plage pour atteindre notre hotel. Mais quel plage, mais qu'est ce que c'est, des dizaines, des centaines de bateaux, à voiles et à moteur, ancrent ou circulent devant la plage pour servir les touristes. C'est fini les baignades car l'eau est polluée par l'essence et les algues! Dommage! car c'est une très belle plage au sable fin blanc. Mais pas question de mettre les pieds dans l'eau!  Bon on a compris, on est arrivé 15 ans trop tard.

Notre rêve s'évanoui! Il y aura d'autres paradis à trouver.  Bon, bon , on est du bon bord pour voir le coucher du soleil en technicolor.  Ça, c'est l'heure magique.  Reste 6 jours pour découvrir d'autres merveilles d'ici.




samedi 4 janvier 2014

Le 3 janvier 2014 Nong Khai

Revenir à Nong Khai nous rappelle beaucoup de souvenirs. En 1989, nous sommes venus pour pouvoir voir le frère de Kyny, Kynone, qui était sorti du camp de rééducation après 14 ans. Nous étions venus au Guesthouse Mut Mee. À l'époque, cette endroit était très cool, du yoga, la méditation, les massage.On était jeune et beau, l'aménagement de ce Guesthouse était déjà, à cette époque, très sympathique. Maintenant 24 ans plus tard, le jardin est splendide, tout a été bien entretenu et même refait avec soin  pour garder le cachet initiale de l'endroit. Nous avons la même chambre qu'à l'époque.





Nos souvenirs remontent à la surface. Nous avions eu l'autorisation  du chef du village, côté laotien, de pouvoir venir ici avec Kynone. Le beau-frère trouvais l'endroit assez simple, lui qui avait été habitué au grand confort avant la guerre. Il avait bien aimé le jardin et le calme de l'endroit.  Nous sommes dans une chambre au 2ème étage. D'ici, on voit le Mékong glissé devant nous. On voit aussi la ville de Thadeua de l'autre côté. Il paraît que l'an prochain, il n'y a plus de frontière entre les pays limitrophes pour la circulation, tels que Laos, Thaïlande, Cambodge et Vietnam, Une sorte Union européenne (ASEAN). Avec un seul visa, on pourait se promener moins cher.

le 4 janvier 2014 Nong Khai

Aujourd'hui, nous visitons le parc jardin de sculptures géantes qui raconte l'histoire du Bouddhisme avec un mélange de fantasmes d'Hindouisme et Brahmanisme. C'est le "Sculture park Salakeawkoo", sorti de l'imaginaire d'un artiste laotien. Ces personnages sont tirés de la vie de Bouddha et de rêves qu'il a eu avant sa création. Cet artiste avait d'abord initié son travail dans un parc dans la ville de Thadeua, au Laos, en face de Nong Khai où nous descendons. Son nom est Boun Leua Sourirat.









Depuis l'évènement communiste en 1975, le parc laotien fut laissé pour compte à l'abandon. Boun Leua insatisfait, traversa le Mékong et entrepris de construire ce 2e merveilleux parc que la communauté d'artistes Issan a participé gratuitement tout le long de sa réalisation. Un exemple de coopération artistique Issan à féliciter. Ce parc est ouvert à tous.  Le coût d'entrée au parc est de 20bath soit 70 cent le prix est le même pour les étrangers et les Thaïs. Bravo! Que se passe-t-il au parc du côté du Laos? Hé bien, le gouvernement laotien le récupère, le rénove et  en faire une attraction touristique formidable!